Je reste un barbare

"Le témoignage vécu de Roger Boutefeu est un des plus poignants que l'on puisse lire. Il nous dédommage superbement de: fictions et de ces controverses approximatives qui prétendent régler le compte du christianisme au détour d'un roman. Il s'ajoute à la longue liste des conversions, mais sa qualité littéraire, sans autre propos que de mieux fouiller les replis d'une âme souffrante, souligne se signification spirituelle." Lucien Guissard, la Croix.
«C'est la suite du roman autobiographique Veille de fête. Sans Dieu, sans Eglise, le révolté en prison rencontre Celui qu'il ne connaissait pas dans l'Evangile. La lumière a lui dans une âme ; mais elle s'accompagnera d'épreuves qui purifieront le « oui » total au Rédempteur. Un témoignage vivant et poignant. » La Documentation catholique.
— A propos de l'émission de télévision « Lectures pour tous » :
«C'est surtout l'histoire de Roger Boutefeu, l'acteur devenu berger, qui nous a pris ce soir. Comment et pourquoi un homme accepte-t-il de garder les brebis. pendant onze ans ? C'est la rencontre de Dieu dans une prison où on l'avait mis qui en a décidé. Solitude pour solitude, Boutefeu a préféré les brebis d'une bergerie aux religieux d'un couvent. L'important, pour lui, c'était sa rencontre avec le Christ. Visiblement il ne pense qu'à Lui, il va en parler, il en parle...» François Mauriac, le Figaro littéraire.

Source : Editions du Seuil

Source : Seuil