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Toute la mer va vers la ville

Toute la mer va vers la ville

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  • Résumé

    Dans ce récit, dont le titre est emprunté à un vers de Verhaeren, l'auteur nous livre son "Comment peut-on être Breton ?" Mais à la différence de Morvan Lebesque ou de Pierre Jakez Helias, ce n'est pas un plaidoyer pour la Bretagne ou pour la province d'hier qu'il écrit, c'est un plaidoyer pour aujourd'hui, et pour l'ailleurs. Un plaidoyer contre les imbéciles heureux qui sont nés quelque part. Un plaidoyer contre ceux qui sont convaincus d'occuper le centre du monde.

    Hamon nous conte son enfance à Saint-Brieuc, dans l'après-guerre, ses démêlés avec l'école, avec la religion, sa formation politique dans une ville qui fut la première à basculer vers la gauche, ses allers-retours, très tôt, entre la Bretagne et Paris. Et puis le journalisme, l'écriture, l'édition qui "forcément" se passaient à Paris, et "forcément" à Saint-Germain-des-Prés. Comment il devient, à l'époque, un Breton saisonnier, un "touriste" chez les siens, heureux et malheureux à la fois.

    Puis, la Bretagne, il la retrouve. Sur un bateau de légende, l'Abeille Flandre, un remorqueur de sauvetage. Il devient Brestois d'adoption avec enthousiasme, avec le même enthousiasme qu'il a éprouvé au contact des marins. Il aime Brest, son parfum d'anarcho-syndicalisme. Mais rien à faire : la grande ville lui manque aussi, Paris, Tokyo, New York, et son Trégor natal.

    Alors il s'installe dans l'entre-deux. Il comprend que ce qu'on a quitté, c'est pour toujours. Il comprend qu'il n'a pas de racines, mais des "attaches" - fortes, qu'on dénoue, qu'on renoue, qu'on garde mais dont on est libre.

    C'est un livre de passion, de passion ouverte. La suite, en quelque sorte, de "Besoin de mer" et de "L'Abeille d'Ouessant" qui furent des succès dans la France entière.

    Source : Stock
  • Caractéristiques