Description
Les forces allemandes étaient arrivées jusqu'aux faubourgs de Moscou.
Les - redoutables panzers allemands s'étaient inexorablement ouverts leur chemin.
Contre leur avance irrésistible. les russes dressèrent tout ce qu'ils pouvaient dresser et finirent par jeter dans la 1-hélée leurs T.34 qui semèrent la panique dans les phalanges des tankistes du fameux Guderian.
Mais les allemands eurent recours a des blindages plus épais, à des obus dotés d'une plus grande force de pénétration : le danger des T.34 fut écarté.
Ce fut alors que les russes trouvèrent une nouvelle arme antichar.
Les laboratoires de l'Institut Pavlov mirent en pratique 'la théorie des réflexes conditionnés à laquelle ils s'intéressaient depuis longtemps.
Des chiens, spécialement dressés, apparurent sur le front.
LES CHIENS ANTICHARS !
De furieux aboiements se firent entendre. - Ces maudits chiens ! s'écria le Feldwebel.
- Mais aujourd'hui, réplique Meisner, on va leur rendre la monnaie de leur pièce !
- Les voilà ! annonça l'obergefreiter.
Avec un sifflement soyeux, les fusées fendirent l'air. Et tout aussitôt, une barrière de flammes se dressa devant les chiens antichars.
Source : Gerfaut
Poche
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