Flora la belle romaine

Piquant destin que celui de Flora, la belle et jeune Romaine, très jeune même...
En ce IIe siècle après J.-C., son centurion de père s'est mis en congé de l'armée et a ouvert une auberge à Marseille. A son service, deux esclaves seulement, charmantes d'ailleurs et infiniment dociles...
Bientôt Flora veut les aider, aider ainsi son père : sens familial bien romain, goût de l'argent, fort précoce curiosité. Et dons fort précoces, eux aussi. Très vite, la nymphette sait tout des mille et une variations du désir et du plaisir.
Flora, cependant, se lassera: le plus vieux métier du monde est parfois monotone et contraignant, n'est-ce pas ?
C'est alors qu'apparaît l'homme providentiel...

Source : J'ai Lu