Et mon fantôme en rit encore

Lorsqu'il publie ce journal, en 1949, Somerset Maugham est au faîte de sa carrière d'écrivain. Il consigne dans ces pages les analyses les plus lucides et féroces sur la société post-victorienne. sur lui-même et sur son rouvre. II n'épargne personne et règle ses comptes avec tous. Ses voyages de par le monde. ses rencontres font l'objet de descriptions et de portraits brefs. incisifs. savoureux et très évocateurs. II s’interroge également sur le sens de la vie. se sert de ses propres expériences. de ses lectures pour dégager une sorte de philosophie où se mêlent humour, drôlerie. cruauté à l'égard des femmes envers lesquelles il fait preuve d'une grande misogynie.

Source : Le Livre de Poche, LGF