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Fragments d'un ouvrage abandonné sur la possibilité d'une constitution républicaine dans un grand pays

Fragments d'un ouvrage abandonné sur la possibilité d'une constitution républicaine dans un grand pays

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  • Résumé

    Les Fragments, oeuvre majeure et pourtant inédite, furent commencés cinq ans après la Révolution et s'enrichirent, pendant plus de dix années, de "strates successivement apportées par le temps". Benjamin Constant s'y livre à une analyse rigoureuse des problèmes constitutionnels suscités par la chute de l'Ancien Régime. La Révolution française, en organisant la lutte du système électif contre le système héréditaire, a posé la "question du siècle".
    Afin de la résoudre, Benjamin Constant s'assigne un but : élaborer une constitution pour une société dont les membres jouiraient de la plus grande liberté possible. La république est le nom qui sied à ce régime, terme du progrès de l'histoire dont le déroulement traduit l'émancipation lente des opprimés. En observateur de son époque, Benjamin Constant dénonce, avant Tocqueville, la centralisation.
    Respectueux de la volonté nationale, il prône la séparation des pouvoirs, seule capable de prévenir le despotisme d'un Napoléon. Spectateur des débuts de la révolution industrielle, il veut espérer d'une redistribution du capital. Enfin, tirant les leçons des échecs successifs des constitutions issues de la Révolution, il appelle de ses voeux l'instauration d'un pouvoir "préservateur" chargé de "défendre le gouvernement de la division des gouvernants et les gouvernés de l'oppression des gouvernants".
    L'ouvrage épouse ainsi le devenir complexe de la pensée de Benjamin Constant, jamais avare en éloges de la constitution anglaise, héritier de Madame de Staël et de Necker et toujours fidèle dans sa lutte pour la liberté des individus.

    Source : Aubier
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