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La terre n'est pas à vendre

La terre n'est pas à vendre

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    Avec les grandes catastrophes écologiques comme Tchernobyl ou le naufrage de l'Erika, avec la pollution de l'air et des eaux, l'aggravation de l'effet de serre, avec l'émergence de courants politiques se revendiquant de l'écologie (les Grünen en Allemagne, Ecolo en Belgique ou les Verts en France), le grand public prend progressivement conscience de l'urgente nécessité de protéger notre environnement. On connaît Greenpeace pour ses actions spectaculaires et médiatiques au service de cette cause. Mais, au-delà de cette visibilité médiatique, quels sont les arguments avancés par ces militants ? Comment définir aujourd'hui ce combat écologiste qui va bien plus loin qu'une simple révolte et qui dépasse très largement la seule protection de l'environnement ? Dialoguant avec Philippe Demenet, journaliste particulièrement sensible à ces problématiques, Bruno Rebelle, au nom de Greenpeace France, évoque l'esprit et la réalité de son engagement, en pensant non seulement au monde d'aujourd'hui, mais aussi aux générations futures. " Nous ne possédons pas la terre, nous l'empruntons à nos enfants ", écrivait l'historien grec Thucydide. Dans ce dialogue vif où perce la passion d'un combat, Bruno Rebelle souligne la dimension politique, sociale et économique de l'écologie en évoquant la question des OGM ou du nucléaire, mais également sa dimension personnelle et citoyenne. Il aborde aussi l'impératif de solidarité qui s'impose aujourd'hui pour faire face à la globalité des enjeux écologiques. Qu'en est-il de notre manière d'utiliser l'eau ou l'énergie, au Nord et au Sud ? Qui souffre le plus du pillage de la biodiversité planétaire ? Plus largement, est évoqué ici l'attachement à cette Terre qui ne peut plus être perçue comme un objet consommable à l'envi.

    Source : La Méridienne Edition
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