Passer aux informations produits
1 de 1

Jacques le français : Pour mémoire du goulag

Jacques le français : Pour mémoire du goulag

  • Livre Grand Format Grand Format
  • En français Français
Prix habituel 5,03 €
Prix habituel Prix promotionnel 5,03 €
Promo
Taxes incluses. Frais d'expédition calculés à l'étape de paiement.
Expédition sous 24/48h | jour ouvré

Livraison à 2.49€ avec Mondial Relay. Gratuite dès 25 €

Paiement sécurisé
  • American Express
  • Apple Pay
  • Mastercard
  • PayPal
  • Visa

Un achat engagé

  • Soutenez une coopérative à but non lucratif
  • Livre collecté, stocké et traité en France
  • Participer à une économie circulaire
Afficher tous les détails
  • Résumé

    Il aura fallu la parution de deux ouvrages - Le Manuel du Goulag et Qu'elle était belle cette utopie ! Chroniques du Goulag - pour que le public découvre le destin singulier et extraordinaire de Jacques Rossi, ce Français emprisonné au Goulag. Mais, si ces deux ouvrages donnaient toutes les clés du système concentrationnaire soviétique et exprimaient les souffrances inouïes des déportés, ils ne disaient rien du parcours de l'auteur avant et après son séjour au Goulag.
    C'est l'objet de ce livre où il s'est confié à l'écrivain Michèle Sarde. Jacques, le Français, surnom qui lui fut donné par ses compagnons de captivité, relate avec force, vivacité et humour l'existence de Jacques Rossi. Né en 1909 d'une mère française, il vécut en Pologne une adolescence de fils de famille et adhéra très jeune au parti communiste, ce qui entraîna une première peine de prison. En 1929, il se trouvait à Berlin où ses talents de polyglotte (il pratique une dizaine de langues) lui valurent d'être affecté à la section des liaisons internationales OMS du komintern et au service de renseignements de l'Armée Rouge, le GRU.
    Pendant environ huit ans, le jeune agent secret mena à bien de dangereuses missions en voyageant à travers l'Europe sous des identités d'emprunt. Agent de liaison pendant la guerre d'Espagne, il est rappelé à Moscou lors des grandes purges de 1937. Accusé d'espionnage, il est condamné, sans autre forme de procès, à " huit ans de camp de redressement par le travail " qui se prolongeront en vingt années forcées en Arctique et en Sibérie.
    Après la mort de Staline, il sera assigné à résidence à Samarcande en Asie centrale pendant quatre ans. Au sortir d'URSS, la vie de l'ancien Goulaguien sera consacrée à rentrer en France où il ne retournera définitivement qu'en 1985 et à témoigner sur un siècle qui restera dans l'Histoire celui de l'inhumanité idéologique, symbolisée par les totalitarismes nazi et soviétique.

    Source : Cherche Midi Editeur
  • Caractéristiques