118, rue Terminale

« Il laissa ses jumelles remonter le long des gouttières... Les appartements, au 118 de la rue Terminale, y compris le sien, étaient tous construits sur le même modèle. Seul, celui de droite, au même niveau, restait vide, depuis longtemps...
"L'événement qu'il attendait se produisit à dix-huit heures vingt-six. La lumière jaillit, juste en face de lui, au quatrième, au-dessus de chez Joseph Spoon... Cette Viola, qui n'habitait ici que depuis trois semaines, apparut enfin dans sa cuisine sans store ni rideau."
Maxime Brücker, boxeur sur le déclin, se console de ses échecs en se faisant voyeur, et manipulateur de destins à ses heures.
Au 118 de la rue Terminale, le drame couve...

Source : Le Livre de Poche