Compilation impasse des deux palais

Naguib Mahfouz, le roi du roman. (...)Finalement c'est moins à Martin du Gard que l'on pense qu'à Tolstoï et Balzac, le tout parfaitement intégré dans une pâte nommée " égyptianité ", faite elle-même des vieux contes pharaoniques et des Mille et Une Nuits, sans oublier un bon zeste de Coran, pour une fois débonnairement interprété. Le Monde, J.P. Peroncel-Hugoz Cet homme-là est avant tout un conteur égyptien pas si loin du côté arabe de la magnificence d'un Albert Cohen. Le Quotidien de Paris, Dominique Muller On dit qu'il fait songer à Tolstoï et à Balzac ? Il y a aussi chez lui du Garcia Marquez, les débordements baroques en moins, une fulgurante acuité psychologique en plus. Un Garcia Marquez qui aurait beaucoup lu Proust. La Libre Belgique, Robert Verdussen L'humour cairote pétille tout au long de ces pages. (...) Un monument d'élection pour tout curieux de la vie égyptienne, et pour tout amateur de saga égyptienne. Le Figaro, Claude Michel Cluny Au pays des scribes, Aladin l'enchanteur est de retour : il s'appelle Naguib Mahfouz. L'événement du jeudi, André Clavel

Source : Lattès Jean-Claude