Les rats

Grâce à cette réimpression, des milliers de lecteurs vont. désormais entrer dans le rêve, s'amuser de l'intelligence, jamais en défaut, de l'auteur, se prendre pour Bourieu ou pour Ponchard, rencontre Sartre, se soûler chez Gallimard...

Jean-Pierre Enard, V.S.D.

Livre d'une impudence, d'une santé, d'une violence et d'une force extraordinaires.

Patrick Besson, Le Point.

C'est un roman merveilleusement écrit. Les dialogues sérieux sont hilarants. Les fausses naïvetés font mouche. L'insolence s'y glisse insidieusement, mine de rien, mais la bêtise, la mesquinerie, la lâcheté ne s'en relèvent pas. C'est aussi d'une tendresse qu'on ne connaissait pas à Frank.

Jérôme Garcin, L'Evénement du Jeudi.

Bourrieu, Weil et les autres personnages des Rats brûlent d'écrire de l'impérissable. En attendant, ils se placent dans la presse, dînent en ville, parasitent et draguent. (...) Les Rats ont été écrits à moins de vingt-quatre ans. Il s'y manifeste un souffle, une culture et une maturité stupéfiants.

Bertrand Poirot-Delpech, Le Monde

Source : Le Livre de Poche